L’expansion du Régime de pensions du Canada : Mythes réfutés
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Mythe no 1 : L’économie est trop fragile pour majorer les cotisations au RPC maintenant.
La majoration la plus récente des cotisations au RPC a eu lieu en 1997. Pendant les sept années de l’échelonnement de la majoration, l’emploi a augmenté et l’économie n’a pas cessé de croître – et les prestations n’ont même pas été haussées cette fois-là.
Mythe no 2 : Le Régime de pensions du Canada est une taxe destructrice d’emplois.
Les cotisations au RPC ne constituent pas une taxe. Elles représentent de l’épargne. Elles sont un investissement que les travailleurs et travailleuses et leurs employeurs font dans un régime de pensions sûr et sain. L’épargne accumulée dans le RPC sera dépensée dans 10, 20 ou 30 ans, ce qui aidera à créer des emplois.
Les entreprises ont amplement les moyens de payer des cotisations majorées au RPC qui assureront des prestations de retraite supérieures aux travailleurs et travailleuses actifs actuels. Les entreprises de l’extérieur du secteur bancaire ont sept fois plus d’argent en banque qu’elles en avaient au moment de la dernière majoration des cotisations au RPC. Les cotisations des entreprises à l’AE diminuent et le taux de l’impôt sur leur revenu a baissé de 13 % depuis les années 1990.
Mythe no 3 : Des millions d’emplois seront éliminés si les cotisations au RPC sont majorées.
La majoration des cotisations au RPC n’a jamais éliminé des emplois. En fait, les personnes jouissant de pensions supérieures pourront dépenser davantage quand elles auront pris leur retraite, ce qui, en fait, créera des emplois.
Mythe no 4 : Les petites entreprises s’opposent à l’expansion du RPC.
Les petites entreprises savent qu’elles ne sauraient obtenir un meilleur rendement qu’en investissant dans le RPC, en raison de ses faibles frais de gestion, de sa sécurité et de la capacité de transférer l’épargne. En tant que travailleurs autonomes, les propriétaires de petites entreprises cotisent au RPC et peuvent en tirer des prestations. L’expansion du RPC assure aux propriétaires de petites entreprises la stabilité sans risque d’un régime à cotisations déterminées et elle assure un régime de pension à prestations déterminées garanties aux membres de leur personnel. Un sondage mené auprès de petites entreprises de l’Ontario a révélé que la majorité des petites et moyennes entreprises sont favorables à l’expansion du RPC.